Le texte qui vexe sans complexe en mode express, ça s’empresse, se presse, se dresse, se re-presse, se redresse à toute vitesse , sans stress , wesh lebesse…
L’intro est posée, l’exposer va se s’imposer, plus le temps de s’exposer à se reposer, risque d’exploser, voir d’implosé, qui sait ? Mieux vaut ne pas… Alors à quoi ça rime tout ça… Mon gars… Quoi tu parles à toi, je parle à moi.. Est-ce que ça va ? ou quoi ? Quoi ? Ben oui ça va… Et toi, et moi ? ou toi est moi ou moi est toi… Ca change quoi… Pas de couacs, pas de cous à tordre… Des coups tordus, dors-tu sur tes lauriers, puisque tu t’y est trop reposé ?
La question est posée, oserez-vous une réponse… Ponce Pilate se lave les mains…Ils sont fous ces romains… Pas d’idée fixe à poser sur le papier virtuel…Des mots s’affichent eux réels… Bientôt sauvegardés, un jour diffusé ?
Qui sait ? Dieu le sait-il ? Sait-il qu’il n’existe pas ? Inch allah….
Et voilà, l’intro se prolonge, je vais partir au pays des songes et je songe que le sujet n’est pas déterminé… Pas de déterminisme.. De la détermination… On est plus proche de l’action… Des terres de combat… Qu’on batte la campagne et pas battre sa compagne… Cayenne n’est plus un bagne….
mardi 13 novembre 2007
Texte sans image
Moque les : Divers
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1 commentaire:
ah trop bien je trouve ça excellent !!! vivement le prochain :-)
et Ponce Pilate se lave les mains... c'est clair!!!
big up skalpa!
vivement les svinkels
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